2024, bilan 2023

Pour ce petit bilan annuel, on ne peut pas dire que ce soit très concluant. Malgré une veille assidue l’année dernière aboutissant à un certain nombre de formations (sur Udemy par exemple, il serait peut etre bien d’ailleur que j’y consacre une petite page ici…), j’ai par ailleurs pris beaucoup de retard, notamment sur ma rédaction d’articles et malheureusement aussi sur mes correspondances (moi qui m’étais fait une joie d’avoir repris contact avec mon ancien directeur de thèse!)

Enfin, cela fait presque un an que je n’ai rien écrit. Bon, j’exagère un peu, cela fait juste depuis septembre dernier, mais même là, ce mot sur le passage en 2024, je l’écris euh… en avril!!! Aïe, est-ce le signe d’un essoufflement? d’une lassitude? d’un gros ras-le-bol ou d’une perte de sens? Probablement un peu de tout ça.

Il faut dire que depuis mon changement d’ESN, je ne peux pas dire que j’ai vraiment trouvé LA mission dans laquelle je pourrais m’éclater… Entre des demi-missions de soutien, une mission sans commentaires et aujourd’hui une mission dans laquelle je ne peux prétendre à un épanouissement profond, j’avoue que j’en arrive à me poser beaucoup de questions sur la direction que prend ma carrière.

Alors oui, ok, cette mission sollicite l’ensemble de mes compétences et j’avoue qu’il est assez grisant d’être partout à la fois et de pouvoir exploiter l’ensemble de ses acquis, mais le souci c’est peut-être là, je n’ai pas le sentiment d’évoluer, de grandir, de progresser et j’en viens même à me demander: “oui ok, progresser, mais dans le fond pourquoi aussi?”

Après, cette mission a quand même bien rempli mon emploi du temps. Entre autres, même si je ne suis pas vraiment sortie de ma zone de confort, à l’inverse l’activité a été dense et peut-être aussi que ça explique pourquoi je n’ai pas su trouver l’énergie pour faire autre chose.

J’oublie aussi de dire que l’on a acheté une maison… peut-être que ça joue un peu aussi… avec les travaux que cela comprend….

C’est amusant, du coup, en me relisant, je me dis que peut-être c’est normal en fait d’avoir un peu décroché et que je ne devrais pas m’en demander autant et être aussi dur avec moi-même…

Cela dit, la tenue de ce blog a de l’importance pour moi car il m’a permis de revenir à l’essentiel de ce qu’est mon travail, c’est-à-dire, de l’ingénierie, de la recherche pour disposer des bons outils pour les activités et les problèmes que je rencontre au quotidien.

En disant cela ainsi, on pourrait y voir une forme de déclaration d’intention, histoire de faire bien sur les réseaux sociaux. Mais non, pour le coup je crois que si je ne le fais pas, je manquerai sûrement à mon éthique pro mais surtout, je perdrais probablement une partie du sens que je peux trouver dans mon travail.

Donc bon voilà, on va se redresser, et se remettre en route histoire de rattraper un peu tout ce temps perdu et combler un peu les vides.

Pour cela, je ne pense pas forcément que je pourrai faire des grands sujets de fond, on essayera de faire des sujets plus simples, plus petits qui permettront de relancer la routine d’écriture surtout donc soyez un peu indulgent sur le contenu qui sera proposé prochainement.

En parlant de contenu pour le coup je ne sais pas du tout ce que je vais aborder. D’habitude j’essaye de fournir un chemin un peu logique pour l’année en cours mais quand on y regarde, souvent je ne m’y tiens pas vraiment… du coup bon on verra ce qu’il en ressort, sûrement un peu d’IoT, un peu de modélisation, un peu de ML et de data et enfin sûrement un peu de devops… mais nous verrons bien!!

Après, on peut aussi essayer d’être un peu positif car, mine de rien, on aura quand même fait un peu d’UML, rappelé ce qu’est le modèle 4+1 vue (fondamental), un peu d’IA, d’archi avec les ADR et même un peu d’IoT. Du coup, finalement, on aura quand même abordé pas mal de sujets. Il reste à poursuivre et à reprendre le rythme. Espérons que ça se fera sans trop de mal…

Sur ce, à très bientôt sur le blog en essayant de ne pas trop se mettre de pression… après tout on est que des humains avec ses limites

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